Exposition - Foire - Portes ouvertes
Le Barbier de Séville
Le 10 Mars 2025
LILLE

### **Opéra**
Inutile précaution que celle de Bartolo, qui voudrait régenter le sort de sa pupille… en l’épousant lui-même. Pour contrer ses plans, la belle Rosina s’est trouvé un complice sans pareil : l’ingénieux barbier Figaro. Dans le plus pétillant des opéras-bouffes, la calomnie, la ruse et quelques déguisements permettront à l’amour de triompher.
« Le temps et la poésie sont dans la musique à l’opéra. Le point de vue du compositeur, c’est déjà un point de vue de metteur en scène. Il y a une part de poésie qu’on n’a pas à prendre en compte, la musique s’en charge », explique Jean-François Sivadier. Depuis sa célèbre _Italienne avec orchestre_, il n’aime rien tant qu’introduire du théâtre dans l’opéra et redonner à l’opéra toute sa puissance tragique… ou comique. Dans son _Barbier de Séville_, donné avec un succès retentissant à l’Opéra de Lille en 2013 et repris ici avec une nouvelle génération de chanteurs, tout est affaire de fantaisie, d’énergie et de surprise. D’espagnolades en quiproquos, des anachronismes facétieux jusqu’aux joies immuables de la tarte à la crème, il livre ici une version vitaminée et moderne du classique. De quoi présenter dans ses plus radieuses couleurs ce chef-d’œuvre joyeux, qui allie l’allure de la comédie originelle de Beaumarchais et le raffinement de Rossini.
En trois semaines d’une heureuse fièvre créatrice, le compositeur y a ciselé quelques-uns de ses airs les plus éclatants : celui de Figaro, celui de la calomnie, ou encore le feu d’artifice vocal qu’est « Una voce poco fa »… Le soir de sa création en 1816, ce _Barbier de Séville_ fera d’abord scandale… avant d’emporter, une semaine plus tard, un triomphe qui, pas loin de deux siècles plus tard, reste sans démenti.
Avec le soutien du CIC Nord Ouest, mécène principal de la saison.
### **Distribution**
**_Le Barbier de Séville_**
_Opera buffa_ en deux actes de Gioacchino Rossini (1792-1868)
Livret de Cesare Sterbini (1784-1831) d’après Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais
Créé le 20 février 1816 à Rome
**Diego Ceretta** direction musicale
**Jean-Francois Sivadier** mise en scène
**Véronique Timsit** metteure en scène chargée de la reprise
**Johanne Saunier** assistante à la mise en scène
**Alexandre de Dardel** décor
**Virginie Gervaise** costumes
**Philippe Berthomé** lumières
**Cécile Kretschmar** maquillages
**Christophe Manien** chef de chant
**Louis Gal** chef de chœur
Avec :
**Deepa Johnny** Rosina
**Filipe Manu** Le comte Almaviva
**Alessandro Luongo** Figaro
**Omar Montanari** Bartolo
**Vazgen Gazaryan** Basilio
**Ingrid Perruche** Berta
**Thibault de Damas** Fiorello, Un officier
**Chœur de l’Opéra de Lille**
**Orchestre National de Lille**
**Production** Opéra de Lille, théâtre de Caen, Opéra de Limoges, Opéra de Dijon, Opéra de Reims
Inutile précaution que celle de Bartolo, qui voudrait régenter le sort de sa pupille… en l’épousant lui-même. Pour contrer ses plans, la belle Rosina s’est trouvé un complice sans pareil : l’ingénieux barbier Figaro. Dans le plus pétillant des opéras-bouffes, la calomnie, la ruse et quelques déguisements permettront à l’amour de triompher.
« Le temps et la poésie sont dans la musique à l’opéra. Le point de vue du compositeur, c’est déjà un point de vue de metteur en scène. Il y a une part de poésie qu’on n’a pas à prendre en compte, la musique s’en charge », explique Jean-François Sivadier. Depuis sa célèbre _Italienne avec orchestre_, il n’aime rien tant qu’introduire du théâtre dans l’opéra et redonner à l’opéra toute sa puissance tragique… ou comique. Dans son _Barbier de Séville_, donné avec un succès retentissant à l’Opéra de Lille en 2013 et repris ici avec une nouvelle génération de chanteurs, tout est affaire de fantaisie, d’énergie et de surprise. D’espagnolades en quiproquos, des anachronismes facétieux jusqu’aux joies immuables de la tarte à la crème, il livre ici une version vitaminée et moderne du classique. De quoi présenter dans ses plus radieuses couleurs ce chef-d’œuvre joyeux, qui allie l’allure de la comédie originelle de Beaumarchais et le raffinement de Rossini.
En trois semaines d’une heureuse fièvre créatrice, le compositeur y a ciselé quelques-uns de ses airs les plus éclatants : celui de Figaro, celui de la calomnie, ou encore le feu d’artifice vocal qu’est « Una voce poco fa »… Le soir de sa création en 1816, ce _Barbier de Séville_ fera d’abord scandale… avant d’emporter, une semaine plus tard, un triomphe qui, pas loin de deux siècles plus tard, reste sans démenti.
Avec le soutien du CIC Nord Ouest, mécène principal de la saison.
### **Distribution**
**_Le Barbier de Séville_**
_Opera buffa_ en deux actes de Gioacchino Rossini (1792-1868)
Livret de Cesare Sterbini (1784-1831) d’après Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais
Créé le 20 février 1816 à Rome
**Diego Ceretta** direction musicale
**Jean-Francois Sivadier** mise en scène
**Véronique Timsit** metteure en scène chargée de la reprise
**Johanne Saunier** assistante à la mise en scène
**Alexandre de Dardel** décor
**Virginie Gervaise** costumes
**Philippe Berthomé** lumières
**Cécile Kretschmar** maquillages
**Christophe Manien** chef de chant
**Louis Gal** chef de chœur
Avec :
**Deepa Johnny** Rosina
**Filipe Manu** Le comte Almaviva
**Alessandro Luongo** Figaro
**Omar Montanari** Bartolo
**Vazgen Gazaryan** Basilio
**Ingrid Perruche** Berta
**Thibault de Damas** Fiorello, Un officier
**Chœur de l’Opéra de Lille**
**Orchestre National de Lille**
**Production** Opéra de Lille, théâtre de Caen, Opéra de Limoges, Opéra de Dijon, Opéra de Reims
Horaires
Le 10 Mars 2025 de 20h00 à 23h15 *




















Leaflet © OpenStreetMap contributors
Adresse
Place du Théâtre
LILLE